Ouverture des églises au Ngwalanda: GOD a triomphé ?
Le haut tcheking du gouvernement de ce vendredi 16 octobre courant etais ova avec pleins de journaleux en poutoulou .ce tcheking s’est soldée par l’allègement des mesures restrictives en faveur des églises et ses semblables, notamment l’ouverture des lieux de culte dès le 30 octobre prochain. C’est un véritable baume de soulagement pour le monde écclésiastique du bled.
Je lache la doc!
Depuis le 03 avril 2020, les lieux de church comme d’autres secteurs d’activité du Gabon avaient été frappés par les mesures restrictives de lutte contre la Covid-19. Mais l’entêtement des gouvernants à garder les lieux de culte scellés alors que d’autres secteurs jouissaient d’allègement a précipité un véritable bras de fer entre les hommes des églises et le gouvernement d’owoungwé depuis plusieurs semaines.
Ce bras de fer épique dans lequel s’était livré les hommes de Dieu face au gouvernement gabonais semble avoir atteint son épilogue aujourd’hui, grâce notamment à l’allègement des mesures de restriction qui maintenaient leurs lieux de culte fermés. En effet, le gouvernement gabonais, par la voix du ministre de l’intérieur, Lambert Noël Matha, a déclaré la réouverture des churchs et lieux de prière dès le 30 octobre prochain. Les églises, les mosquées et autres pourront désormais ouvrir les portes de leurs lieux de célébration respectif à leurs fidèles.
Voila! C’est fait.
Il est primordial de préciser que seules 30 personnes au maximum seront amises au sein des salles de prière par célébration. Chaque culte durera entre 45 minutes à 1 heure. Pour clôre la liste des points saillants relatifs aux exigences du gouvernement, il ne faut pas omettre que ce dernier a demandé aux leaders religieux de procéder à la récolte de leurs dîmes et offrandes via support électronique ou par enveloppe fermée.
Qui boude bouge ooooo.
Beaucoup reste encore à faire pour espérer satisfaire les ministres du culte, toutefois cet allègement sonne comme une sorte de victoire pour ces derniers au regard de la pression qu’ils ont exercée les dernières semaines sur le gouvernement afin d’obtenir le droit d’aller louer leur Dieu.
Haaaa! Sacré ngwalanda.