LIBÉRATION/Jocktane, Moutsona et Kassoum retrouvent la liberté

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Mike Jocktane, Thérence Gnembou Moutsona et Joël Kassoum Ndong Assoumo retrouvent la liberté du 13 octobre, suite à plusieurs mois en détention à la maison d’arrêt d’Oyem. Inculpés notamment « d’association de malfaiteurs » et « d’allégations mensongères », la libération de ses hommes politiques intervient trois jours après la sortie de leurs avocats. des questions dans l’opinion Mike Steeve Jocktane (1), Thérence Gnembou Moutsona (2) et Joël Kassoum Ndong Assoumou (3) ont quittées la prison d’Oyem ce 13 octobre en soirée.

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Incarcérés il y a un mois, ils ont été inculpés des infractions d’association de malfaiteurs (1, 2 et 3), d’allégations mensongères (2), et de complicité d’allégations mensongères (1). Ces infractions sont prévues et punies par les dispositions des articles 48, 93, 122 et 193 du Code pénal gabonais. Les trois hommes avaient été interpellés séparément à Oyem alors qu’ils tentaient de se rendre à Mongomo en Guinée-Équatoriale. Ils étaient alors accompagnés de leurs chauffeurs et de leurs équipes de sécurité pour Mike Jocktane et Therence Gnembou Moutsona.

Les courriers dont ils étaient porteurs ne visaient uniquement qu’à faire reconnaitre la victoire de leur candidat Albert Ondo Ossa à la dernière élection présidentielle annulée après le coup d’État, a martelé la porte-parole des trois avocats. « Il ne s’agissait là, ni plus ni moins, que de rétablir l’ordre constitutionnel, lequel n’est pas à confondre avec une insurrection, ou une rébellion, ou encore une révolte ou un putsch », a Me Micheline Bourdettes.

il est question d’une mesure prise par ordonnance, une pièce judiciaire émanant soit de l’officier du ministère public, soit d’un juge statuant en matière de contrôle de la détention, soit d’un collège de juges statuant sur le fond. mapane infos y reviendra

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