Journée internationale de la langue maternelle: pour une pleine promotion des langues au gabon.

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La Journée internationale de la langue maternelle du dimanche 21 février2021 reste l’occasion d’accroître la promotion de nos langues . Célébrée sous le thème « Promouvoir le multilinguisme pour l’inclusion dans l’éducation et la société », notre pays a choisi de mettre cette journée sous le thème « Vive nos langues ».

les acteurs culturels gabonais mise sur les meilleurs moyens de sauvegarde des langues au produit d’une génération qui fait face a une grande perte de certaines valeurs de base propre à notre nation. 

Le Musée national des arts, rites et traditions du Gabon fût propice pour l’ONG Omanda, plateforme de promotion des peuples minoritaires et des ethnies en voie de disparition, en collaboration avec le ministère de la Culture et des Arts, d’où le Rdv de la célébration de la Journée internationale de la langue maternelle. Le thème choisi par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) pour commémorer cette journée en 2021 fut une manière évidente de montrer que la sauvegarde des langues vernaculaires passe notamment par son leur apprentissage dès le plus jeune age. 

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Les langues sont une composante de l’ADN d’un peuple, de son identité culturelle, les préserver conduit vers la sauvegarde d’un patrimoine culturel qui fait la richesse de l’humanité. « Quand les langues sont minimisées, dévalorisées, ce sont les cultures qu’elles véhiculent qui meurent », a indiqué Rodrigue Mouckandza-Nzai, coordonnateur de l’ONG Omanda. 

l’ONG Omanda propose, une réalité « vive nos langues », que leur apprentissage et usage chez les jeunes soit introduit dès la petite enfance, notamment dans le système éducatif, que l’Etat leur accorde un statut juridique.

les langues de nos ancêtres se doivent d’avoir une place importante dans nos échanges . 
Dans notre pays , on il existe une cinquantaine d’ethnies. Plusieurs d’entre elles sont en voie de disparition ou pas suffisamment représentées.

Certains exemples, les Shaké (ou Saké), les Samaï (dans l’Ogooué Ivindo ), les Bavili , Vili, les Evéa, les Kota-Kota, les Simba, toutes des ethnies dites « minoritaires »  et parfois tendent à « s’exclure elles-mêmes en se mélangent a d’autres labels ethnies majoritaires ».

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