VÉRITÉ RIEN QUE LA VÉRITÉ, ET HOP RECONDUCTION D’UN HOMME JUSTE ET DROIT.
RÉCAPITULATIF D’UNE MACHINATION SAVAMMENT ORCHESTRÉ PAR LES ENNEMIS DE LA RÉPUBLIQUE ET DU CTRI.
André Patrick Roponat : un magistrat engagé en faveur de la loi et de la liberté de la presse
Dans le contexte tumultueux des récents événements au Gabon, André Patrick Roponat, Procureur au Gabon, s’érige en défenseur fervent des procédures légales et de la liberté de la presse, malgré les malentendus persistants qui entourent son rôle dans une affaire médiatique majeure.
Contrairement aux rumeurs tenaces, le procureur n’a pas requis la détention de Harold Leckat, un journaliste de renom, ni de ses collaborateurs. Au lieu de cela, il a choisi d’agir en tant que plaignant, laissant aux Officiers de police judiciaire la responsabilité de mener une enquête impartiale sur l’affaire en question.
Il est primordial de dissiper les malentendus entourant cette affaire. Le procureur n’a pas formellement émis de mandat de dépôt, mais a plutôt déposé une plainte, cherchant à vérifier les pièces du dossier en possession de la DGR (Direction Générale de la Recherche). Cette distinction cruciale révèle la complexité de l’affaire et l’importance d’une approche équilibrée.
La garde à vue, souvent mal comprise, n’est pas une décision de justice, mais plutôt une mesure administrative que les officiers de police judiciaire peuvent prendre lorsque cela est jugé nécessaire. Cette subtilité a été en partie obscurcie par les modifications apportées au code de la communication, suscitant des interrogations quant à son application.
André Patrick Roponat, reconnu pour son expertise en droit et son respect des lois, partage ces préoccupations avec le président de la Transition. Cependant, les accusations graves formulées par certains confrères journalistes soulèvent des questions sur une possible atteinte à sa réputation et à son intégrité. Cette situation met en lumière la délicate frontière qui existe entre l’information et la diffamation.
Dans cet équilibre complexe, il est impératif de rappeler que le fait d’informer ne saurait être confondu avec le fait de diffamer. C’est un principe fondamental pour respecter les lois gabonaises et éviter tout écueil juridique. La préservation de la liberté de la presse et le respect des procédures légales restent des piliers essentiels de la démocratie et de l’État de droit au #Gabon.
Lors, du récent conseil supérieur de la magistrature, grande à été là surprise de le voir maintenu , pour les pourfendeurs de la République qui pensaient qu’on gère les choses avec émotions et non avec la raison.