VIE DES MEDIAS : LE MINISTRE  MBOUMBOU MET FIN AUX PALABA DU CPPPL.


c’est la fin des palabres entre les copains du CPPPL devenus des coléreux le temps d’une embrouille de plusieurs semaines.
Fortement enlisé dans d’innombrables palabres internes, et donc…à la lisière du choc , le cercle des boss de la presse privée en ligne (CPPPL) devra désormais sa survie à la médiation d’Edgard Anicet Mboumbou Miyakou, ministre d’État à la Communication et à l’Économie numérique.
En effet c’est le grand mboumbou qui a œuvré pour la fin des palaba, deux jours durant, dans une ambiance et un  climat de dialogue, d’acceptation de l’autre, de consensus, et de sérénité. Une implication du membre du gouvernement que les professionnels des médias apprécient à sa juste valeur.
Les anciens bagarreurs ont remis les amis.

Au Cercle des Patrons de la Presse Privée en Ligne (CPPPL), l’horizon demeurait depuis six (6) mois déjà, lourdement obscurcis. En cause, des conflits  inhérentes au fonctionnement, et donc à la gestion de cette organisation patronale des médias.
Y avait un manque de R et des manquements dans le mouvement.

Convaincu de l’idée que les frangins  sont capables de se parler, quelle que soit la nature, la profondeur et la délicatesse des palaba  qui peuvent les opposer, le ministre en Charge de la Communication et de l’Économie numérique n’a pas un seul instant hésité à convoquer les parties en opposition, déjà engagées dans une “choc ” judiciaire kinda mabé de la mort .

Le lundi 12 avril a constitué la première phase de dialogue.
Sans atermoiements, les parties opposées ont évoqué les questions de fonds, lesquelles ont creusé des mois durant, le fossé entre le prési, Thierry Mebale Ekouaghe et le reste des elements membres fondateurs.

Dans une perspective de conciliation, le ministre d’État à la Communication a exhorté les parties à opter pour un dialogue devant circonscrire les points querellés.
Le djadji a tchek a ses mbindis de remettre les amis .

Une recommandation entendue puisque, le mardi 13 avril courant, le Bureau exécutif du CPPPL se retrouvait “enfin” à son siège de la Cité Rose, dans le 6e arrondissement de Libreville, aux fins d’harmoniser les arguments.

Une concertation fructueuse puisque les parties reparaissaient mercredi 14 Avril, le lendemain, devant le membre du gouvernement, un procès-verbal consensuel dûment signé des principaux acteurs.
C’est déjà top entre eux la bas et le palabre est bolai.

Les affaires de ngata du commissariat de nzeng sont fini oooo.

entre eux c’est deja oklm.

Edgar Anicet Mboumbou Miyakou, désireux de voir évoluer dans le microcosme communicationnelle gabonais une corporation plus responsable et représentative des valeurs d’unité, a exhorté les journalistes membre du CPPPL en particulier, et des autres organisations en général, à l’exemplarité.

Un archétype que les patrons des médias en ligne ont dit devoir ne ménager aucun effort à rendre effectif.