HAC ET PRESSE EN LIGNE DU GABON : comme un début d’énervement sur L’affaire de la redevance.

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Les journal’eux en ligne du ngwalanda sont en colère depuis l’annonce de la convocation des médias en lignes qui doivent venir déposer le gain de la redevance.

L’affaire est grave et la colère gagne les petites rédactions du bled.

qui boude bouge ?

Entre décisions incompréhensibles, excès et déni du contexte économique et palabres d’appauvrissement, c’est un début de crise avec soupçons d’avc ?

Kieeee!  Ndjami tara! le pays la aime les palabres

Nos bons grands de la Haute autorité de la communication ont décider intelligemment de finir avec les petits braves débrouillards du stylo virtuel en mode qui boude bouge ?

Dans un contexte économique youkoukou, ou vont, ils trouver le gain pour tchoko le do à la HAC ?

Cette redevance inopportune va sûrement paralysée la  petite  presse libre et indépendante du ngwalanda.

Depuis l’arrivée de cette nouvelle dans les petites rédactions, les grincements de dents sont audibles et la colère touche le plafond !

Le gain pour la HAC oui, mais ou vont, ils trouver ça pour fala le do ?

500 kolo pour la redevance mmmm  un demi-bâton. le manquement de ca ?

Kieeee! Ntk.

Les promoteurs des médias du secteur ont promis d’aller se jeter au pont nomba si l’affaire la continue de grimper au sommet du mont iboundji  oooo.

La redevance de 500.000 francs CFA annuelle qu’exige désormais les nyemetologues de la hac aux entreprises de presse en ligne va sûrement tordre le coup aux petits débrouillards de Nguembé man aux stylos virtuels.

Ils ont promis aller pleurer chez monseigneur ibaba représentant du Dieu des makayas , afin que jésus touche le cœur des HAC’EURS decisionnistes à fond sans pitié.

Au ngwalanda, la pub profite aux lobbys et aux médias qui ne parlent pas mal des choses des gens d’en haut.

Sans salaires, ni soutiens, ni pub, les médias en lignes peinent à résister au Nguembé.

La haute autorité de la communication a fait fi de tout, y compris de sa responsabilité à réguler la publicité, c’est-à-dire permettre que les mwanas presse privées y aient accès, au même titre que les lourds du secteur public.

Agnambié.

Le monopole de la pub de certains jugés sages et rien pour les critiqueurs aux longues bouches .

Cette stratégie de normalisation énerve déjà les stylos man.

Ils ont promis aller à iboundji taper le Diable à tout ceux qui vont oser continuer à parler de ça.

Les journal’eux privés ont la fièvre depuis la et les hôpitaux vont sûrement enregistrer des hausses de tension kinda .


Dans les bars de beyok , certains journal’eux parlent de ‘génocide programmé des entreprises de presse privées.

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qui boude bouge?

Haaaa! Eux aussi sont les bons petits de ngwala premiers malgré cette bassine de linge sale qui continue à se laver aux bords des eaux froides de la djouri agnili .

Question de moi bangando.

Qui gagne quoi à vouloir tuer la presse privée à l’approche du prochain sacre de ngwala premier en ce 2023 que chaque camarade de mon parti attend avec un sentiment militant des grands jours?

Nsili !

haaaa ifouala est complique adieh 

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