TRANSITION/ La promesse sacrée du président de restaurer la dignité du peuple gabonais

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Lorsque le Président de la Transition a pris ses fonctions, il a fait une promesse solennelle à la population gabonaise : restaurer leur dignité. Cette promesse résonne profondément dans le cœur du peuple, car elle touche à l’essence même de leur identité et de leur appartenance à cette terre qui les a vus naître.

La dignité, c’est ce sentiment d’être respecté, considéré et valorisé en tant qu’individu et en tant que membre d’une communauté. C’est la reconnaissance de sa propre valeur, de ses droits et de sa place dans la société. C’est ce qui permet à chacun de se sentir fier et digne d’être gabonais.

Or, pendant des années, le peuple gabonais a vu sa terre, ses ressources et son patrimoine culturel être convoités, exploités et parfois même pillés par des étrangers. Cette situation a profondément porté atteinte à leur dignité, les faisant se sentir comme des étrangers sur leur propre territoire.

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C’est pourquoi le Président de la Transition a compris que pour restaurer la dignité du peuple, il fallait d’abord protéger leur terre. Des lois doivent être mises en place pour empêcher tout étranger de venir arracher la terre aux Gabonais. Ces lois doivent garantir que la terre et les ressources du Gabon appartiennent en priorité à ses citoyens, qui en sont les véritables dépositaires.

Cette promesse de protection de la terre gabonaise s’inscrit également dans les enseignements de la Bible, qui enjoint aux dirigeants de veiller sur leur peuple. Dans le livre des Proverbes, il est écrit : « Un roi qui juge les pauvres avec équité, dont le trône s’affermira pour toujours » (Proverbes 29:14). Cette parole divine souligne l’importance pour un dirigeant de protéger les plus faibles et de leur garantir leurs droits fondamentaux.

De même, dans le Lévitique, Dieu commande : « Vous ne dépouillerez point votre prochain, et vous ne le dépouillerez point ; la terre que je vous ai donnée pour la posséder ne sera point vendue à perpétuité, car la terre m’appartient, et vous n’êtes que des étrangers et des hôtes chez moi » (Lévitique 25:17-23). Cette injonction divine rappelle que la terre appartient à Dieu et qu’il en confie la gestion aux hommes, qui doivent en être de bons intendants.

Ainsi, en protégeant la terre des Gabonais, le Président de la Transition honore non seulement sa promesse de restaurer leur dignité, mais il se conforme également aux enseignements de la Parole divine. Car la terre, c’est le socle sur lequel repose l’identité, la culture et la fierté d’un peuple. La protéger, c’est donc préserver ce qui fait l’essence même de la nation.

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