Altercation entre des soldats de la GR en possession d’une prétendue importante somme d’argent au carrefour Rio: comme une odeur de Fake News.

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Les récidivistes du chantage devant la Commission nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite (CNLCEI)

Aucune information judiciaire sur ce qui est à l’heure actuelle considéré comme étant une Fake news. L’affaire dite de l’altercation entre des soldats de la GR en possession d’une prétendue importante somme d’argent et des éléments de la gendarmerie nationale n’est pour l’instant qu’une de ces histoires qui se racontent sur les réseaux sociaux.

Curieusement, on apprend que certaines organisations dites de la société civile, qui depuis des années sont sur la même ligne politique que l’opposition gabonaise, c’est-à-dire la déconstruction de l’effort de développement national, ont déposé une plainte devant la commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI), pour s’insurger contre un détournement et des présumés commanditaires nés d’une imagination fertile de certains de nos compatriotes.

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Il s’agit là, en l’absence d’éléments probants d’un quelconque détournement de deniers publics (noms, lieu, montant, implications, lien avec les auteurs, origine des fonds, plainte déposée au tribunal), d’une opération de communication avec une forte dose de distraction, destinée à entretenir une éphémère popularité aux auteurs de cette démarche théâtrale.

En citant le nom du Coordinateur Général des Affaires présidentielles Noureddin Bongo Valentin dans une telle démarche, Marcel Libama, Georges Mpaga et autres récidivistes de la diffamation, cherchent à s’assurer d’un retentissement politico-médiatique certain.

Il y a dans notre pays, des pratiques qui ne peuvent plus perdurer au nom d’un laisser-aller historique. Salir l’image d’un jeune compatriote parce qu’on voudrait être sous les feux des projecteurs est une opération qui infantilise ses auteurs et les organisations dont ils sont les représentants. C’est une vieille technique qui ne fait plus recette à l’ère de nouvelles technologies.

Nous dénonçons cette hystérisation médiatique du débat dans notre pays et cette propension à jeter de la boue sur ceux et celles, dont le travail est de donner un peu d’espoir aux populations gabonaises. Conscient de ce que la fake news n’a une durée de vie que de trois jours tout au plus, il ne serait pas étonnant que le CGAP n’accorde aucun intérêt à cette « danse du ventre » ayant jadis fonctionnée avec d’autres personnalités. C’est donc dire que nos quatre mousquetaires devront trouver autre chose pour espérer gratter un petit billet.

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